Il n’y pas que Bart, il y a aussi Bert !

Il y avait longtemps qu’il n’avait plus fait parler de lui : le sénateur socialiste flamand Bert Anciaux (SP.a) estime que la sixième réforme de l’État belge constitue une évolution positive pour les confédéralistes du Nord, c’est-à-dire ceux qui ont signé les cinq résolutions du Parlement flamand en mars 1993 (entre-temps, le VLD est devenu crypto-confédéraliste).
Mais comme cette réforme n’offre pas des socles de compétences homogènes, Bert est persuadé qu’une nouvelle réforme de l’Etat suivra prochainement.
Il attend de voir comment les Régions vont gérer leurs nouvelles compétences. Mal pour ce qui concerne la Wallonie dans la mesure où celle-ci ne s’y est pas du tout préparée par manque d’anticipation et que sa bureaucratie va les transformer en magma monstrueux et en nids à copains.
Pour Bert Anciaux, Bruxelles consiste le principal problème : comment scinder la sécurité sociale au profit de la Flandre…
La suite au prochain numéro !
Pour couronner le tout, la communauté germanophone, par la voix de son Président, a exprimé le souhait de devenir une Région à part entière, en faisant sécession de la Wallonie.
Mais pour Rudy Demotte, comme pour Elio Di Rupo tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. Candide…

CD&V : le confédéralisme qui  n’ose pas dire son nom !

Source : Belga