En deux semaines, pas moins de 13 mineurs auraient été remis en liberté par la magistrature bruxelloise, faute de place dans les institutions de protection de la jeunesse (IPPJ) à l’efficacité plus que douteuse. Une situation catastrophique, selon les autorités elles-mêmes. 12 libérations auraient eu lieu en un seul week-end. Une autre se serait produite …