"Le Soir vêlé" de Delvaux - 24 septembre 2010

En dépit du bon sens, Le Soir continue à nous balancer des "dossiers" et des sondages plus fumeux les uns que les autres.

En juillet 2008, un sondage sérieux (IFOP) créditait l'option rattachiste de 49%, en cas de disparition de la Belgique. Aujourd'hui, Madame Delvaux fait appel au Dedicated Research, de connivence avec le pouvoir, pour nous concéder 14% alors que l'évolution politique du pays concrétise chaque jour notre analyse.

Aux ordres du Boulevard de l'Empereur, Le Soir de Madame Delvaux, domiciliée à... Dilbeek, croit pouvoir imposer le Plan B (B pour Bidon ou Banqueroute), l'Etat croupion Wallonie-Bruxelles, à son lectorat. Cela ne l'engage à rien puisque, résidant à BHV, elle sera de facto flamande et qu'elle ne subira pas les conséquences politiques et financières de cette transmutation génétique.

Il est vrai que la fin de la Belgique et/ou l'échec de son rêve wallobruxien signifierait la faillite du Soir, dont les ventes sont en baisse constante depuis des années. Comme quoi, la population est plus sagace qu'elle ne le croit.

Il est évident que Madame Delvaux oublie que la Pravda était soutenue par un Parti Communiste d'Union Soviétique sans concurrent (illustration : Youri Andropov, dernière momie de l'URSS avant la Glasnost), alors que "son" PS fétiche ne représente que 30% des francophones.

Notre conclusion : Le Soir de Delvaux ou le crépuscule de la liberté de pensée...

Le Soir : le quotidien qui vous prend pour un mouton

Le Bureau d'Etude du PS plus lucide que Delvaux


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