Grand-Duché de Luxembourg : la dynastie en question - 2 décembre 2008

Mimétisme inconscient, éducation ratée ? Nul ne sait. Mais tout comme son oncle le Roi Baudouin en 1990 au sujet de la loi de dépénalisation partielle de l'avortement, le Grand-Duc Henri a refusé de signer la loi légalisant l'euthanasie sous condition. Comme Baudouin, il invoque des valeurs religieuses pour justifier sa décision.

Moins complaisant que le Premier ministre belge de l’époque, Wilfried Martens, qui avait déclaré « l’incapacité provisoire du Roi de régner », pour faire passer la loi, le Premier ministre luxembourgeois, Jean-Claude Juncker, a désapprouvé le comportement antidémocratique du Chef de l’Etat luxembourgeois.

L'affaire Baudouin en 1990 analysée par le CRK

En marge :

Après la Grande Guerre, la Belgique a tenté d’annexer purement et simplement son voisin, ainsi que le Limbourg hollandais, sous la pression des partisans de la Grande Belgique, eh oui !, regroupés autour de Pierre Nothomb, Président du C.P.N., le Comité de Politique Nationale, et, d'autre part, aïeul des autres Nothomb (Charles-Ferdinand, Paul, Amélie, etc.)
Cet épisode peu reluisant n'a bien entendu jamais figuré dans nos manuels d'Histoire.

Enfin, l’actualité du Grand-Duché fournit peut-être la clé de la plus grande affaire judiciaire belge non résolue : les Tueries du Brabant wallon (28 morts).

Dans les années 80, à la même période que les tueries, une série d’attentats avait troublé la quiétude du Grand-Duché de Luxembourg…

La solution des Tueries du Brabant wallon au Luxembourg ?