Di Rupo justifie son patronyme : un sale type

Pitoyable prestation du sbire de Mons en ce début de semaine. Alors que son mikado flamand de la rue de Nimy ne cesse de se fissurer, il prétend sans rire qu’il ne parvient plus à dormir depuis que des dizaines de millier d’exclusion du chômage sont devenues effectives au 1er janvier :
« J’ai le cœur qui saigne quand je pense à tous ces gens. Croyez-moi, je n’en dors pas .»
Elio Di Rupo demande au gouvernement de Charles Michel de revenir sur la suppression des allocations d’insertion et de chômage… que le gouvernement Di Rupo a lui-même décidée :
« Nous demandons par humanité au gouvernement de Charles Michel de changer cette mesure. »
Un rôle de pitre, de Toto le Zéro ou de Pinocchio grandeur nature : à vous de choisir.
Et le personnage insipide de la Commedia dell’Arte de continuer dans le glapissement : « Nous étions convaincus que cela allait permettre aux jeunes qui sortent de l’école de trouver un emploi. Mais la mesure n’atteint pas ses objectifs » (note : alors qu’elle n’est même pas mise en œuvre !).
Di Rupo l’opportuniste en solde aurait cédé à l’en croire à une demande 100% libérale, qui a été prise en compromis entre les six présidents de partis parce que « le pays allait à vau l’eau, il fallait le stabiliser. C’était une crise de régime ». On ne voit pas vraiment le rapport entre l’exclusion du chômage et l’unité du Belgium…
Ce Di Rupo se fout du monde en prenant les Wallons pour des imbéciles. Di Rupo (« rupo » signifie « saleté » via le concept de « rupophobie « ) : un patronyme qui lui va comme un gant (d’éboueurs), même si ceux-ci sont bien plus respectables que le Président à vie du PS….

Source : L’Avenir